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WEYES BLOOD
AND IN THE DARKNESS, HEARTS AGLOW
Par Yohann Goyat
Photo
Voici en cette période des fêtes, le cinquième album que l'on attendait tous de Natalie Laura Mering. Un timing parfait qui se joint à l'atmosphère religieuse et feutrée de cette nouvelle œuvre musicale. Douceur assumée et voix angélique, Weyes Blood brille non seulement pour ses atouts vocaux mais aussi sur la pochette de l'album sur laquelle on peut y voir une allusion à une statue de cire de Jesus-Christ à travers laquelle la lumière se fraie un chemin. Un combo parfaitement assumé est toujours très religieux, pour rester dans le thème. Musicalement ce cinquième album est une véritable mine d'or, les titres s'enchaînent et la beauté artistique ne cesse de nous titiller les tympans. L'artiste fait part de ses sentiments de solitude et autres besoins de socialiser en temps de pandémie. Weyes Blood ouvre son cœur et libère ses sentiments d'un telle manière, qu'il est impossible de rester insensible à la sensibilité pure de l'artiste. Le titre d'ouverture It's not just me, it's everybody illustre très bien ce que tout le monde a pu vivre ces deux longues dernières années. L'entrée en matière est prenante et son single God turn me into a flower nous crucifie par sa beauté évangélique. Weyes Blood retournera dans ses travers un peu plus folk dans la deuxième partie de l'album avec entre autre le titre The worst is done. A given thing qui clôture l’œuvre musicale est saturé de synthétiseur et d'orgue ce qui nous replonge dans le sacro-sainte de cet album immaculé. Les chants évangéliques de Natalie Laura Mering rejoignent les cieux peint par le célèbre Michel-Ange au sein de la chapelle Sixtine.
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